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LA FIN PROGRAMMEE DE LA DEMOCRATIE


kid

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Je ne sais pas si c'est de générosité dont on doit parler dans ces cas là.

 

pourtant le gars de M6 c'est ce qu'il dit

le français à tout laisser tomber pour aider la population locale .....

 

 

 Ce pays c'était la somalie

 

en effet

 

Ces sacs ont bien servi, mais ils ont eu un effet pervers, les gens allait chercher le riz gratos, mais n'achetait plus aux producteurs locaux qui ont fermé boutique et quand l'aide a cessé, ben il n'y avait plus assez de recoltes pour le pays puisque il avait cessé l'exploitation. Et il y a eu une famine encore pire qu'avant. C'est pour cette raison que maintenant ils ne demandent plus de nourriture mais de l'argent direct pour aider...

 

ah, bah ça je savais pas, merci

 

mais j'avais aussi souvenir qu'une partie de ces sacs ont été distibué à des/pillé par (railler la mention inutile) milices

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hum c pas étonnant tout ça. Je sais pas si dieudonné m'a monté la tete, mais ce kil dit sur un certain "complot" controlé par des gens très influent (cf multinationales et média) n'est pas si faux, mais bon, certains font passer le monde libérale pour le grand méchant loup alors kil s'agit seulement du comportement de certaines multinationales occidentales. Il faut pas oublier kil y a des firmes très morales ki respectent leurs employés et l'environnement (notemment les grands groupes japonais).

 

Je pense ko lieu de blamer le libéralisme, il vaut mieux blamer les vrais responsables ki pensent ka faire des profits exorbitants. Car quand on parle de libéralisme, on parle de liberté, et je veux surtout pas qu'on nous la suprime. Par contre, il faut pas le laisser tomber dans une dérive, donc le plus important est de bien séparer la politik et les interets privés comme pour l'histoire du p2p ki me fout grav les boules. C ça la dérive du libéralisme, quand les hommes politiks défendent des interets privés, comme par exemple les droits sur les médicaments et tout. Mais loin de devenir des sociétés socialistes voir pire, je pense ke l'état ne doit en aucun cas faire des mesures autoritaires. Je me situe comme socio-libéral. Un peu des 2 et le monde s'en portera mieux Il faut faire des compromis, mais pas touché aux libertés svp.

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Invité belladruzillaa

hum c pas étonnant tout ça. Je sais pas si dieudonné m'a monté la tete, mais ce kil dit sur un certain "complot" controlé par des gens très influent (cf multinationales et média) n'est pas si faux, mais bon, certains font passer le monde libérale pour le grand méchant loup alors kil s'agit seulement du comportement de certaines multinationales occidentales. Il faut pas oublier kil y a des firmes très morales ki respectent leurs employés et l'environnement (notemment les grands groupes japonais). 

 

Pour Dieudonné, j'ai bien peur qu'il se fasse descendre un de ces quatre... Il a abusé un peu quand même mais il est attaqué de tous les côtés sur les chaines nationales par des tas de gens connus... Il n'y a que Clémentine Célarié (que j'adore) qui est resté sur la réserve car elle sait très bien qu'il ne pourrait pas se défendre. Il n'a pas le droit de s'exprimer, les médias fuient son discours...Il est obligé d'envahir les plateaux de direct pour avoir une chance de le faire.

 

Alors quand tu parles de liberté, celle du droit à l'expression est déjà bafouée dans ce pays. Et je ne te parlerais pas de la devise "liberté, égalité, fraternité" mais je suis quand même fier d'être français

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je suis quand meme content que les fracais ait dit non a la constutution , europeene

 

et oui pour ca moi j'ai rien donner pour le tsunami , je savait qu'il ne donnerait pas l'argent , je prefererai donner 10 € a un pauvre quand j'irait la bas , au moins sa serviras (meme si c'est pour acheter une biere lol )

 

a propos de liberalisme , lisez ca http://perso.wanadoo.fr/metasystems/Liberalisme.html[/url

 

 

 

 

 

Toujours plus de liberté pour les entreprises,
toujours plus de répression pour les citoyens

Les Etats-Unis et la France sont les deux pays occidentaux les plus avancés dans ce qui est la tendance politique émergente du 21è siècle: le libéral-fascisme, combinaison du néo-libéralisme et du fascisme.






Le libéral-fascisme consiste à accorder toujours plus de liberté aux entreprises (base du libéralisme) et toujours moins de liberté aux citoyens (base du fascisme).

Le libéral-fascisme revient à accorder l'impunité aux élites dirigeantes, et simultanément, à augmenter le contrôle et la répression envers les citoyens ordinaires, en leur appliquant le principe de la "tolérance zéro".




La liberté des entreprises consiste à pouvoir polluer et saccager l'environnement, à être dispensées du financement de la collectivité par le biais des allègements d'impôts et de charges sociales, et à pouvoir disposer de salariés corvéables à merci, licenciables facilement et payés le moins cher possible. La "liberté" des entreprises est donc susceptible de provoquer une révolte de la population. La réduction des libertés individuelles et l'augmentation de la répression contre les citoyens sont donc le complément indispensable du supplément de liberté accordé aux entreprises.

Par ailleurs, les conditions économiques de plus en plus difficiles augmentent le nombre des chômeurs, des précaires, et des sans-abris. Quant à ceux qui travaillent encore, ils touchent souvent un salaire misérable, insuffisant pour subvenir à leurs besoins compte-tenu du coût du logement et des produits de base. Afin de prévenir les réactions violentes ou illégales des pauvres et des exclus, le libéralisme nécessité le renforcement de la répression et l'instauration d'un état policier.
 

Les leaders du libéral-fascisme


Le libéral-fascisme est actuellement au pouvoir aux Etats-Unis, avec George W. Bush et les "néo-conservateurs" ultra-nationalistes qui composent l'administration Bush. A la suite des attentats du 11 Septembre 2001, ils ont fait s'abattre une chape de plomb sur les médias et ont fait adopter l'US Patriot Act, un ensemble de lois répressives et totalement contraires aux droits de l'homme, comme la possibilité de détenir une personne sans jugement et pour une durée illimitée.




En France, Nicolas Sarkozy, est presque en tous points aligné sur la politique de Bush et des néo-conservateurs américains: suppression des libertés au nom de la "sécurité", mépris des droits de l'homme, répression à outrance du moindre délit commis par le citoyen ordinaire, politique économique ultra-libérale, communautarisme, discrimination positive, et encouragement implicite de l'islamisme afin d'attiser ensuite la peur, la "matière première" indispensable du fascisme.

Ce n'est pas un hasard si Nicolas Sarkozy est la 2è personnalité préférée des électeurs du Front National après Jean-Marie Le Pen (d'après un sondage réalisé en Septembre 2004).



Bush et Sarkozy ont en commun l'adhésion au libéralisme économique, l'intolérance envers les opinons différentes de la leur, l'utilisation sans scrupules de la propagande et du populisme, et le mépris des libertés individuelles et des droits de l'homme. Ils partagent aussi la même stratégie centrale: instrumentaliser la peur pour justifier la réduction des libertés. Pour susciter la peur, les "libéral-fascistes" ont besoin de désigner un ennemi. Au besoin, ils apportent une aide occulte à cet ennemi. Et si cet ennemi n'existe pas encore, ils le créent de toutes pièces, ou ils en exagèrent les capacités de nuisance. Saddam Hussein ou Ben Laden pour les Etats-Unis, la délinquance et les auteurs d'infractions routières pour Sarkozy (en attendant mieux).


Travail, Famille Patrie

Lors de son discours d'investiture à la présidence de son parti le 28 novembre 2004, Nicolas Sarkozy s'est clairement positionné très à droite, annonçant son intention de bâtir un projet politique pour "la France du travail". Il a ainsi dénoncé "l'égalitarisme" et souhaité que "la France du travail" soit "au coeur de toutes les politiques". 

Sur un ton agressif et devant des militants fanatisés, ponctuant ses envolées de la formule "je veux", le nouveau président de l'UMP a affirmé sa volonté de faire "renaître" les "valeurs essentielles" du "respect", du "travail", et de la "patrie". Des mots qui ont été omniprésents dans son discours. 

Tout au long de son intervention, Nicolas Sarkozy a aussi martelé le mot "réussir". "Ce qu'il nous faut maintenant, c'est redonner à la France et aux Français le goût de réussir et de la réussite", a déclaré le nouveau président de l'UMP, pour qui le bonheur semble donc se limiter à la réussite matérielle, selon une vision très américaine du sens de la vie.

Nicolas Sarkozy semble oublier que les valeurs de la République ne sont pas "Travail, Famille, Patrie", mais "Liberté, Egalité, Fraternité".


"Arbeit macht frei"

L'idée que "le travail libère l'individu" revient avec régularité dans les discours de Nicolas Sarkozy depuis 10 ans.

Nicolas Sarkozy affirme régulièrement que "le travail rend libre", alors que le but de tous les humanistes est au contraire de libérer l'homme du travail. Chaque salarié sait aussi par expérience que le travail est une servitude dès lors que l'on ne perçoit en salaire qu'une infime partie du fruit de son travail. Le salarié ordinaire sait aussi que le travail est aliénant lorsqu'il rentre chez lui le soir vidé de toute énergie. 



Pour ceux qui ont la mémoire courte, il faut rappeler que l'inscription à l'entrée des camps de concentration nazis était précisément "Arbeit macht frei" ("le travail rend libre&quot[img=https://preprod.metagames.fr/forums/images/smilies/clin.gif].

Ce slogan est d'autant plus cynique que les nazis utilisaient l'anéantissement par le travail pour avilir les prisonniers et briser leur esprit.

 

"Arbeit macht frei" est une application du principe d'inversion systématique de la réalité mis au point par Goebbels, ministre de la propagande du IIIè Reich. La même technique de propagande est utilisée par George Bush lorsqu'il qualifie l'invasion de l'Irak de "libération de l'Irak".

 

On retrouve encore ce principe d'inversion dans "1984" de George Orwell, où un régime totalitaire a pour slogan "la liberté, c'est l'esclavage".

 

 

 

 

- Incapacité croissante des états à assumer des fonctions vitales comme l'éducation, la santé, le système de retraites, ou encore le secours aux populations en cas de catastrophe naturelle. La seule fonction de l'état qui demeure efficiente est la répression [center][code]*

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