Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 Le projet de loi sur l'économie numérique vient d'être définitevement adopté ce matin par les députés français après un dernier passage devant les sénateurs. Aucune modification n'a été apportée depuis la dernière modification. L'opposition devrait saisir le Conseil Constitutionnel car ils considèrent ce texte contraire à la liberté d'expression. Mais à moins d'un retournement improbable de dernière minute, ce texte sera applicable 48 heures ouvrable après sa publication au journal officiel. Bien que ce projet de loi ait fait couler beaucoup d'encre, nul doute qu'il ne changera pas votre façon de surfer. SOURCE : CLUBIC Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 Adoption définitive du texte sur l'économie numérique [2004-05-13 13:21] PARIS (Reuters) - Le Parlement français a adopté définitivement jeudi le projet de loi visant à "renforcer la confiance dans l'économie numérique", qui concerne les nouvelles technologies autour d'internet. Le Sénat a voté le texte mis au point dix jours auparavant par une commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat. Les groupes UMP et UDF ont voté pour, l'opposition socialiste et communiste contre. L'Assemblée avait entériné ce texte la semaine dernière. Les socialistes, qui jugent "liberticides" certaines mesures du projet, ont annoncé qu'ils allaient saisir le Conseil constitutionnel. Le texte, qui transpose notamment une directive européenne de juin 2000, propose de moderniser les règles du commerce en ligne, durcit les sanctions contre la cybercriminalité, propose de renforcer la protection des cyberclients et précise la responsabilité des hébergeurs et des fournisseurs d'accès. Il traduit sur le plan législatif la première étape du plan RESO 2007 présenté par le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin pour favoriser le développement de "la société de l'information". Il vise à renforcer "la confiance dans le commerce électronique et la lutte contre les publicités indésirables (spamming)", à conforter "la liberté de la communication publique en ligne" en France, à "mieux sécuriser les échanges et amplifier les moyens de lutte contre la cybercriminalité". L'opposition, soutenue par plusieurs associations dont la Ligue des droits de l'homme et Reporters sans frontières, dénonce pour sa part un amendement qui exclut du champ d'application de la loi de 1881 sur la liberté de la presse les publications sur internet. Alors que la loi de 1881 prescrit les délits de presse à l'issue d'un délai de trois mois à compter de la première publication, l'amendement sénatorial prévoit que les personnes s'estimant diffamées ou injuriées par un texte mis directement en ligne - qui n'a pas été publié au préalable sur papier - pourront engager des poursuites dans un délai de trois mois à compter de la date du retrait de l'article incriminé du net et non de la date de publication. Le Syndicat de la presse parisienne (SPP) et le groupement des éditeurs de services en ligne (GESTE) réclament également le retrait de cette mesure qui, affirment-ils, "créerait une insécurité juridique permanente de nature à nuire gravement à l'exercice de la liberté éditoriale". L'opposition et les mêmes associations dénoncent également d'autres articles du texte comme celui qui établit une responsabilité civile et pénale pour les hébergeurs et fournisseurs. Cet article renforce la responsabilité des hébergeurs de sites internet mais ne les oblige pas à la surveillance comme le prévoyait le texte initial. En revanche, hébergeurs et fournisseurs d'accès auront l'obligation de concourir à la lutte contre la diffusion, notamment en matière de pédophilie, d'incitation à la haine raciale et d'apologie de crimes contre l'humanité. Ils auront également l'obligation d'informer "promptement" les autorités de toutes activités illicites qui leur seraient signalées. Ils devront aussi rendre publics tous les moyens qu'ils consacrent à lutter contre ces activités. L'opposition et les associations estiment que cet article laisse le soin aux hébergeurs et fournisseurs "de déterminer ce qui est licite ou illicite". Source : actualite.free.fr Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 eh ben y fait pas bon etre sur internet "Ils auront également l'obligation d'informer "promptement" les autorités de toutes activités illicites qui leur seraient signalées. Ils devront aussi rendre publics tous les moyens qu'ils consacrent à lutter contre ces activités." c vraiment n importe quoi!!je vais leur en donner du "promptement " en+ si je me trompe pa ca va emm***** les forums(du genre si l hbergeur denonce pas le gars qu a mis un lien illegale etc...y peut etre hum embêté??????) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 c kler ke la merde va commencer sur le net la .... mais grave Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 rolalalalala ya plus rien a faire la...fo tenir bon et esperer ke , com a chaque fois, on trouve une solution . Mais la vue ke seule la France est concernée...ca va etre tendu du slip !!! ARGGGGGG!! !!!! ! ! ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 je vais finir pas me barrer de ce pays si ça continue. déjà que j'y pensais de plus en plus à cause du boulot qui va mal... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 p**** de m**** i font trop chier mais grave Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 Nous sommes revenu dans cette belle France sous le régime de Pétain. Une France réac, où tu seras fiché, où tu devras dénoncer ton voisin avant qu'il te dénonce... quoi que maintenant, tu peux plus rien faire, c'est internet le délateur. Ben remarquez, avec le terrifiant retour de l'antisémitisme, fallait s'attendre aussi à qu'on nous prive de notre liberté d'expression. On est plus en 2004, mais en 1944. ça me donne envie de gerber Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 on gagne des sou si on denonce les autres ?? putain j'croi que j'vais faire comme ghismcdoil vait aller vivre ailleurs des que j'en ai la possibilité.. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Invité Posté(e) le 13 mai 2004 Partager Posté(e) le 13 mai 2004 c la mort du NET,la guerre entre ce ki balanceron et ceux ki seron balancé! ET surtout sa va étre le début de la résistance!tous planké dérière sont pc a cherché la ptite info ki sort de nos cables vers le net pour étre "hide"!sa va étre le foutoir!!! Z S'il continu, internet sa sera comme fumer un :FODRA SE CACHER ! BANDE DE CONARD DU SéNAT ET DE CONS KI CRéE DES LOIS POUR GAGNER DE LA TUNES KIL NOUS VOLENT A LEUR ARIVé AU POUVOIR!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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